Tristane Banon ( Anne-Caroline Banon )

Tristane Banon ( Anne-Caroline Banon  )

Tristane Banon, née Anne-Caroline Banon , le 13 juin 1979 à Neuilly-sur-Seine, est une romancière, nouvelliste et journaliste française.
Biographie et carrière[modifier]Fille d'Anne Mansouret et de Gabriel Banon, Tristane Banon est diplômée de l'École supérieure de journalisme de Paris (ESJ Paris) en 2000. Elle commence sa carrière professionnelle comme pigiste, notamment auprès du magazine Paris Match et du journal Le Figaro. En novembre 2003, elle publie son premier essai, Erreurs avouées… (au masculin), paru chez Anne Carrière, dans lequel elle recueille les « confessions » des erreurs commises par une dizaine de personnalités masculines : Jacques Séguéla, Michel Field, Philippe Gildas, Christian Lacroix, Philippe Sollers, Bernard Werber, Enki Bilal, Calogero et Frédéric Beigbeder. La même année, elle écrit une nouvelle, intitulée « Noir délire », vision romanesque inspirée d'un tragique fait divers : le meurtre de Marie Trintignant par Bertrand Cantat. Son texte est publié aux Éditions Flammarion, dans la deuxième édition de la revue littéraire Bordel, un recueil de jeunes auteurs dirigés par Frédéric Beigbeder et Stéphane Million. En septembre 2004, Tristane Banon publie son premier roman, à caractère autobiographique, J'ai oublié de la tuer, aux éditions Anne Carrière. La romancière y aborde le sujet de la maltraitance sur mineur au travers du personnage de Flore, une jeune fille régulièrement battue par sa nourrice alcoolique et violente, en l'absence de sa mère. Ce livre est sélectionné au festival de Chambéry 2005 du premier roman[9]. En novembre 2005, elle participe à l'édition d'un recueil de nouvelles aux bénéfices de l’Unicef, Fais-moi ta déclaration : les 10 droits de l'enfant publié aux éditions Belem. Pour cet ouvrage, dix auteurs écrivent une histoire illustrant chacune, l’un des dix Droits de l'enfant. Patrick Poivre d’Arvor en a écrit la préface[10]. En septembre 2006, elle publie son deuxième roman, Trapéziste, aux éditions Anne Carrière, où elle reprend le personnage de Flore, jeune femme ambitieuse et mondaine, naviguant dans les milieux littéraires parisiens[3]. D'avril à juin 2007, parallèlement à sa carrière d'écrivain, Tristane Banon s'essaie à la chronique sportive en intégrant l'équipe d'Eugène Saccomano pour l'émission On refait le match diffusée sur la chaîne de télévision LCI et la radio RTL. Pendant le 15e anniversaire de Disneyland Resort Paris, elle est engagée comme journaliste pour le blog des 15 ans[12] (11 février 2007 – 5 janvier 2009). En 2008, son troisième roman Daddy Frénésie est publié aux Éditions Plon. L'année suivante, Tristane Banon signe la préface du roman Elle ne rentre pas ce soir... de Sonia Vandoux, roman dramatique sur le thème de la violence routière. Un temps directrice de collection au Cherche midi éditeur, avec lequel elle est actuellement en procès[14], Tristane Banon collabore également avec le site Internet Atlantico[5]. À l'occasion de la journée de la femme en mars 2011, elle dresse ainsi un portrait des hommes des années 2000, constate que nombre d'entre eux calquent leur comportement sur un modèle traditionnellement féminin et propose la création de la « journée de l'homme ». Accusations à l’encontre de Dominique Strauss-Kahn[modifier]Le 5 février 2007, au cours de l'émission télévisée 93, faubourg Saint-Honoré de Thierry Ardisson, Tristane Banon accuse Dominique Strauss-Kahn de s'être livré à des violences sexuelles à son encontre au cours d'un entretien pour le livre qu'elle préparait, Erreurs avouées… (au masculin), paru en novembre 2003[17],[18]. L'affaire est évoquée dans le livre de Christophe Dubois et Christophe Deloire, Sexus Politicus, paru en 2006[16],[19], et fait également l'objet du dernier chapitre du Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn de Michel Taubmann, biographie autorisée de l'homme politique[16],[20],[21]. Lors de la parution du livre en mai 2011, Tristane Banon conteste la version que celui-ci donne de sa rencontre avec Dominique Strauss-Kahn[22]. Le 15 mai 2011, ce témoignage revient au premier plan alors que Dominique Strauss-Kahn est accusé d'agression sexuelle aux États-Unis. Anne Mansouret, mère de Tristane Banon, affirme le même jour avoir été à l'époque rapidement mise au courant par sa fille de ces violences sexuelles ; elle dit regretter l'avoir alors découragée de porter plainte et témoigne également de conséquences psychiques pour cette dernière et de difficultés qu'elle aurait subies dans sa carrière professionnelle par la suite en raison de cette affaire concernant une « personne éminente[18],[23],[24] ». Si le 16 mai, David Koubbi, avocat de Tristane Banon, déclare qu'elle envisage de porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn[25],[26], il annonce le 20 mai qu'elle ne le fera pas dans l'immédiat et que tous deux ne souhaitent pas être « instrumentalisés » par la justice américaine : « Il est absolument hors de question, dans le dossier de Tristane Banon, qu'un mouvement de notre part ait pour conséquence une condamnation de Dominique Strauss-Kahn aux États-Unis[27],[28],[29]. » Dans la réédition du Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn en juin 2011, Dominique Strauss-Kahn nie les faits qui lui sont reprochés par Tristane Banon et déclare que la scène racontée par cette dernière est « imaginaire »[30]. Le 4 juillet 2011, Tristane Banon et son avocat annoncent qu'elle porte plainte contre Dominique Strauss-Kahn pour tentative de viol. Le lendemain, la plainte de Tristane Banon est envoyée au parquet de Paris qui décide le 8 juillet d'ouvrir une enquête préliminaire. De son côté, Dominique Strauss-Kahn porte plainte contre elle pour dénonciation calomnieuse

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