Disparition de Coralie Moussu

loic
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le 26/05/2011 à 16:24 Citer ce message

Disparition de Coralie Moussu : la thèse du suicide écartée

Retour à la case départ pour les enquêteurs du Gard. Coralie Moussu, cette jeune maman de 32 ans disparue le 6 novembre 2009 de Vénéjan (Gard) et retrouvée morte un an plus tard dans les eaux du Rhône, n’est pas morte noyée, pouvait-on lire ce matin dans le quotidien Midi Libre.

Contrairement à ce que laissait penser la première expertise, qui avait conclu à l’absence de traces suspectes sur l’ensemble du corps, les résultats définitifs de la seconde autopsie ont finalement écarté la thèse du suicide. Les organes de la jeune femme ne contenaient pas d’eau. «L'expertise poussée qui a été faite exclut la thèse de la mort par noyade (…) Le corps a été jeté dans le Rhône », affirme Me Patrick Gontard, l’avocat de la famille de Coralie. C’est donc l’hypothèse criminelle qui est aujourd’hui privilégiée.

Une nouvelle qui a eu l’effet d’un électrochoc pour les proches de Coralie Moussu, même si ces derniers soutenaient depuis le début la piste criminelle. « On ne fait pas des centaines de kilomètres pour aller se suicider », ont toujours affirmé les parents et le frère de la jeune femme.

Coralie a disparu dans la matinée du 6 novembre 2009 laissant son portable, ses papiers d’identité, et même ses chaussures chez elle. Elle n’est jamais venue récupérer sa fille Lou, âgée de 2 ans à l’époque, qu'elle avait confiée à sa mère le temps de réviser un concours administratif. « Elle n’aurait jamais laissé sa fille », avait déclaré à l’époque son frère sur Europe1, excluant ainsi la thèse de la fugue.

La disparition de Coralie Moussu fait suite à celles de Julie Garelli (18 ans) lundi 22 février 2010 à la gare Saint Jean de Bordeaux (voir nos articles dans "Toute l'actualité") et de Laetitia SIMON (30 ans) qui s'est volatilisée dans la région le 6 janvier 2010. Dans la seule région Languedoc-Roussillon, dont le Gard fait partie, 3 autres jeunes femmes disparues n'ont jamais été retrouvées : Tatiana Andujar (17 ans) le 25 septembre 1995 dans le secteur de la gare de Perpignan Moktaria Chaïb (19 ans) le 20 décembre 1997 et Marie-Hélène Gonzalès (22 ans) en juin 1998, toujours à Perpignan. Cela porte à 7 le nombre de jeunes filles disparues, et probablement assassinées
Paul-Emile CHARLTON
Paul-Emile CHARLTON

le 19/01/2012 à 21:18 Citer ce message

Tatiana Andujar - Mokhtaria Chaïb - Marie Hélène Gonzalez -
Fatima Idrahou.
Nous, au Collectif Sud, sur Perpignan on connait une personne pas très très claire qui connaissait très bien les quatre jeunes filles et aussi connaissait beaucoup d'autres gens véreux. Quant aux flics ou autres magistrats avertis, n'ayez crainte, ils ne reviendront pas nous pomper l'air. Trop peur que ça leur pète à la gueule !... et pour cause !!!
Combien de coups de couteau Marie-Hélène Gonzalez, 12 ?.... Un par participant ?
Au mieux sur Perpignan l'on prépare ‘au troupeau’ un nouveau coup foireux du style Boite à Pandore N°1 sur editionsliberte.com.
Pour les petits curieux, même site, voir le n° 43. Ce qui est à venir et a été transmis au ‘Collectif Autre Monde’ c'est du chaud-bouillant ! Lecteurs vous en aurez la primeur.
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le 28/02/2012 à 03:10 Citer ce message


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